Les éoliennes
Brassent du vent
Brassent ma peine
Et mes tourments.
De signaux de détresse
De SOS en SOS
Les bras ballants
Les larmes au vent
Elles ont mouliné mon cœur
Elles ont broyé mon bonheur
Je regarde en silence
Les éoliennes qui dansent
Hachant le bleu du ciel
Emiettant le soleil
Floconnant les nuages
Broyant sur leur passage
Quelques pointes d’étoiles
Egarées sur leurs pales.
De tournoyer
J’en deviens ivre
J’en ai perdu
Le goût de vivre.
©Ancizane
Que de tristesse , les arbres pleurent ? Ne savent-ils pas que comme les ours ils vont dormir longtemps pour préserver leur vie . La neige fondra , le soleil va réchauffer leurs vieilles branches , les racines vont se réveiller , puiser des forces dans une bonne terre , monte alors la sève nourricière . Tout ce qui paraissait , vieux , morts , revit . Ne pleurez plus vieux arbres le printemps est revenu pour vous aussi .
RépondreSupprimerle miracle de la vie existe aussi pour eux
Et voilà comment un commentaire est inspiré par un poème .
Gros , gros bisous ma chère Ancizane
Les éoliennes, seules dans la plaine,avec leurs pales que le vent entraine, et qui tournent doucement, aux caprices du vent...
RépondreSupprimerC'est de l'énergie pacifiste,et c'est d'elles que vient la lumière!!!
Cette lumière qui donne le goût de vivre!
Très joli poème, mais qui me rend, un peu triste...
Bisous
Francie